La revue en ligne En attendant Nadeau a rendu compte de l’anthologie de la « poésie (presque) complète de Jean-Claude Silbermann par la plume d’Alain Roussel :
C’est peut-être la langue des oiseaux que Jean-Claude Silbermann écoute la nuit, en somnambule à l’affut sur la passerelle entre l’éveil et le rêve, notant scrupuleusement leur mystérieux babil.
Consulté l’article publié le 23 mai 2022.